Bucellarii

Bienvenue dans notre association de reconstitution historique, “Bucellarii "consacrée à l’étude, la reconstitution et la transmission de l’histoire militaire et culturelle de l’Empire romain tardif, à travers le prisme d’une unité aussi prestigieuse que méconnue : les Bucellarii.

Démonstration de tir à l' arc antique de lancer de javelot et de lancer de francisques.

la présentation et le tir d' une manubaliste.

L' installation d' un campement reconstitué.

Des interactions avec le public .

Qui étaient les Bucellarii ?

Les bucellarii (du latin bucellatum, une sorte de pain-biscuit sec) apparaissent au IVe siècle comme une élite militaire au service direct des grands généraux ou hauts fonctionnaires de l’Empire. Leur nom vient de leur ration alimentaire, mais surtout de leur statut : ce ne sont plus des soldats de l’armée régulière, mais des troupes privées, recrutées et entretenues par un patron puissant.

Évolution des Bucellarii (IVe – VIe siècle)

IVe siècle : l’émergence

Contexte : L'Empire est encore unifié mais déjà fragilisé. Les conflits internes et externes poussent les élites à se constituer des gardes personnelles.

Fonction : Les bucellarii servent des généraux comme Arbogast ou Stilicon. Ce sont des cavaliers d’élite, parfois issus de peuples barbares fédérés.

Équipement : Influence romaine classique mêlée de touches germaniques. Casques spangenhelm, cuirasses segmentées ou lamellaires, spathae longues et arcs composites.

Ve siècle : l’essor

Contexte : L’Empire d’Occident se délite. Les généraux comme Aetius ou Ricimer comptent sur leurs bucellarii pour maintenir leur pouvoir.

Rôle militaire : Corps de cavalerie lourde ou mixte, souvent plus loyaux envers leur commanditaire qu’envers l’État.

Diversité ethnique : Recrutement de Goths, Huns, Alains. Cette diversité influence les tactiques et l’équipement.

VIe siècle : intégration et déclin

Empire d’Orient (Byzance) : Justinien utilise des troupes analogues (comme les foederati et les doryphoroi), mais le modèle des bucellarii survit.

Conflits majeurs : Guerres gothiques, campagnes contre les Vandales. Les bucellarii sont présents dans les armées de Bélisaire.

Transformation : Peu à peu absorbés par l’armée impériale. Leur rôle préfigure celui des gardes privées byzantines et, plus tard, des compagnies féodales.

Bienvenue dans notre association de reconstitution historique, “Bucellarii "consacrée à l’étude, la reconstitution et la transmission de l’histoire militaire et culturelle de l’Empire romain tardif, à travers le prisme d’une unité aussi prestigieuse que méconnue : les bucellarii.

Qui étaient les Bucellarii ?

Les bucellarii (du latin bucellatum, une sorte de pain-biscuit sec) apparaissent au IVe siècle comme une élite militaire au service direct des grands généraux ou hauts fonctionnaires de l’Empire. Leur nom vient de leur ration alimentaire, mais surtout de leur statut : ce ne sont plus des soldats de l’armée régulière, mais des troupes privées, recrutées et entretenues par un patron puissant.

Évolution des Bucellarii (IVe – VIe siècle)

IVe siècle : l’émergence

Contexte : L'Empire est encore unifié mais déjà fragilisé. Les conflits internes et externes poussent les élites à se constituer des gardes personnelles.

Fonction : Les bucellarii servent des généraux comme Arbogast ou Stilicon. Ce sont des cavaliers d’élite, parfois issus de peuples barbares fédérés.

Équipement : Influence romaine classique mêlée de touches germaniques. Casques spangenhelm, cuirasses segmentées ou lamellaires, spathae longues et arcs composites.

Ve siècle : l’essor

Contexte : L’Empire d’Occident se délite. Les généraux comme Aetius ou Ricimer comptent sur leurs bucellarii pour maintenir leur pouvoir.

Rôle militaire : Corps de cavalerie lourde ou mixte, souvent plus loyaux envers leur commanditaire qu’envers l’État.

Diversité ethnique : Recrutement de Goths, Huns, Alains. Cette diversité influence les tactiques et l’équipement.

VIe siècle : intégration et déclin

Empire d’Orient (Byzance) : Justinien utilise des troupes analogues (comme les foederati et les doryphoroi), mais le modèle des bucellarii survit.

Conflits majeurs : Guerres gothiques, campagnes contre les Vandales. Les bucellarii sont présents dans les armées de Bélisaire.

Transformation : Peu à peu absorbés par l’armée impériale. Leur rôle préfigure celui des gardes privées byzantines et, plus tard, des compagnies féodales.

Bienvenue dans notre association de reconstitution historique, “Bucellarii "consacrée à l’étude, la reconstitution et la transmission de l’histoire militaire et culturelle de l’Empire romain tardif, à travers le prisme d’une unité aussi prestigieuse que méconnue : les bucellarii.

Qui étaient les Bucellarii ?

Les bucellarii (du latin bucellatum, une sorte de pain-biscuit sec) apparaissent au IVe siècle comme une élite militaire au service direct des grands généraux ou hauts fonctionnaires de l’Empire. Leur nom vient de leur ration alimentaire, mais surtout de leur statut : ce ne sont plus des soldats de l’armée régulière, mais des troupes privées, recrutées et entretenues par un patron puissant.

Évolution des Bucellarii (IVe – VIe siècle)

IVe siècle : l’émergence

Contexte : L'Empire est encore unifié mais déjà fragilisé. Les conflits internes et externes poussent les élites à se constituer des gardes personnelles.

Fonction : Les bucellarii servent des généraux comme Arbogast ou Stilicon. Ce sont des cavaliers d’élite, parfois issus de peuples barbares fédérés.

Équipement : Influence romaine classique mêlée de touches germaniques. Casques spangenhelm, cuirasses segmentées ou lamellaires, spathae longues et arcs composites.

Ve siècle : l’essor

Contexte : L’Empire d’Occident se délite. Les généraux comme Aetius ou Ricimer comptent sur leurs bucellarii pour maintenir leur pouvoir.

Rôle militaire : Corps de cavalerie lourde ou mixte, souvent plus loyaux envers leur commanditaire qu’envers l’État.

Diversité ethnique : Recrutement de Goths, Huns, Alains. Cette diversité influence les tactiques et l’équipement.

VIe siècle : intégration et déclin

Empire d’Orient (Byzance) : Justinien utilise des troupes analogues (comme les foederati et les doryphoroi), mais le modèle des bucellarii survit.

Conflits majeurs : Guerres gothiques, campagnes contre les Vandales. Les bucellarii sont présents dans les armées de Bélisaire.

Transformation : Peu à peu absorbés par l’armée impériale. Leur rôle préfigure celui des gardes privées byzantines et, plus tard, des compagnies féodales.

Bienvenue dans notre association de reconstitution historique, “Bucellarii "consacrée à l’étude, la reconstitution et la transmission de l’histoire militaire et culturelle de l’Empire romain tardif, à travers le prisme d’une unité aussi prestigieuse que méconnue : les bucellarii.

Qui étaient les Bucellarii ?

Les bucellarii (du latin bucellatum, une sorte de pain-biscuit sec) apparaissent au IVe siècle comme une élite militaire au service direct des grands généraux ou hauts fonctionnaires de l’Empire. Leur nom vient de leur ration alimentaire, mais surtout de leur statut : ce ne sont plus des soldats de l’armée régulière, mais des troupes privées, recrutées et entretenues par un patron puissant.

Évolution des Bucellarii (IVe – VIe siècle)

IVe siècle : l’émergence

Contexte : L'Empire est encore unifié mais déjà fragilisé. Les conflits internes et externes poussent les élites à se constituer des gardes personnelles.

Fonction : Les bucellarii servent des généraux comme Arbogast ou Stilicon. Ce sont des cavaliers d’élite, parfois issus de peuples barbares fédérés.

Équipement : Influence romaine classique mêlée de touches germaniques. Casques spangenhelm, cuirasses segmentées ou lamellaires, spathae longues et arcs composites.

Ve siècle : l’essor

Contexte : L’Empire d’Occident se délite. Les généraux comme Aetius ou Ricimer comptent sur leurs bucellarii pour maintenir leur pouvoir.

Rôle militaire : Corps de cavalerie lourde ou mixte, souvent plus loyaux envers leur commanditaire qu’envers l’État.

Diversité ethnique : Recrutement de Goths, Huns, Alains. Cette diversité influence les tactiques et l’équipement.

VIe siècle : intégration et déclin

Empire d’Orient (Byzance) : Justinien utilise des troupes analogues (comme les foederati et les doryphoroi), mais le modèle des bucellarii survit.

Conflits majeurs : Guerres gothiques, campagnes contre les Vandales. Les bucellarii sont présents dans les armées de Bélisaire.

Transformation : Peu à peu absorbés par l’armée impériale. Leur rôle préfigure celui des gardes privées byzantines et, plus tard, des compagnies féodales.

Bienvenue dans notre association de reconstitution historique, “Bucellarii "consacrée à l’étude, la reconstitution et la transmission de l’histoire militaire et culturelle de l’Empire romain tardif, à travers le prisme d’une unité aussi prestigieuse que méconnue : les bucellarii.

Qui étaient les Bucellarii ?

Les bucellarii (du latin bucellatum, une sorte de pain-biscuit sec) apparaissent au IVe siècle comme une élite militaire au service direct des grands généraux ou hauts fonctionnaires de l’Empire. Leur nom vient de leur ration alimentaire, mais surtout de leur statut : ce ne sont plus des soldats de l’armée régulière, mais des troupes privées, recrutées et entretenues par un patron puissant.

Évolution des Bucellarii (IVe – VIe siècle)

IVe siècle : l’émergence

Contexte : L'Empire est encore unifié mais déjà fragilisé. Les conflits internes et externes poussent les élites à se constituer des gardes personnelles.

Fonction : Les bucellarii servent des généraux comme Arbogast ou Stilicon. Ce sont des cavaliers d’élite, parfois issus de peuples barbares fédérés.

Équipement : Influence romaine classique mêlée de touches germaniques. Casques spangenhelm, cuirasses segmentées ou lamellaires, spathae longues et arcs composites.

Ve siècle : l’essor

Contexte : L’Empire d’Occident se délite. Les généraux comme Aetius ou Ricimer comptent sur leurs bucellarii pour maintenir leur pouvoir.

Rôle militaire : Corps de cavalerie lourde ou mixte, souvent plus loyaux envers leur commanditaire qu’envers l’État.

Diversité ethnique : Recrutement de Goths, Huns, Alains. Cette diversité influence les tactiques et l’équipement.

VIe siècle : intégration et déclin

Empire d’Orient (Byzance) : Justinien utilise des troupes analogues (comme les foederati et les doryphoroi), mais le modèle des bucellarii survit.

Conflits majeurs : Guerres gothiques, campagnes contre les Vandales. Les bucellarii sont présents dans les armées de Bélisaire.

Transformation : Peu à peu absorbés par l’armée impériale. Leur rôle préfigure celui des gardes privées byzantines et, plus tard, des compagnies féodales.